Instrumentation riche, ambiance glauque et rap sous cachetons : Billy Woods dépeint son monde meurtri, autant par la cacophonie des transports à New York que par les monstres qui patientent sous nos lits. Des cordes haletantes aux gyrophares qui filent, tout se mélange dans une oeuvre qui résonne dans de sombres profondeurs. Pas pour les burn-out.
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