Les Canadiennes façonnent un pont entre la pop indépendante moderne et les classiques de la génération des baby-boomers.
Un contact avec le trio montréalais nous renvoie une certaine image de la nostalgie. Un peu ringarde mais pas trop, et une forte vague de sympathie. Un peu comme un arrière-goût de plaisirs coupables – de ceux que l’on assume – et qu’on est toujours heureux d’écouter lorsqu’on les déterre d’un algorithme de recommandation YouTube. Ou mieux : un vieux souvenir poussiéreux trônant dans la cave de chez nos parents. De Jimi Hendrix à Radiohead, en passant par Metric ou encore Janis Joplin, les trois filles jouent une musique moderne emprunte de réminiscences, influencée par les cadors de leur époque et de celle de leurs parents. Ainsi naît Caveboy, nom rendant hommage à l’enfant terrible qui sommeille en chacune d’elle. Leur audace et leur férocité s’illuminent lorsque danse et mélodie célèbrent leurs noces, ce qui leur a valu de partager la scène avec Kaytranada et Donovan Woods, ou encore de figurer dans un épisode d’Orange Is The New Black. Au diable les toiles d’araignées et les marches en bois qui grincent, on n’a plus peur de descendre à la cave.
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