Une guitare grinçante et douce à la fois, des textes rodés par un passé de poète et un amour pour le sang, les fantômes et les loups garous : sur son dernier album à la tension bancale, Claire Cronin raconte son amour pour le cinéma d’horreur d’un ton monocorde qui berce autant qu’il inquiète. Tout est dans le titre : à la nuit tombée s’éveillent les cauchemars.
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