Mélancolique, plus doux voire lent et hautement ambitieux à l’image d’une pochette qui rappelle l’illustre Nevermind de Nirvana : déjà en 2010, Foals annonçait son futur radieux en faisant d’un « album de la confirmation » l’une des plus belles pièces de sa discographie. Et donc de la décennie.
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