En Islandais, « meir » veut littéralement dire « plus ». Il était donc logique pour ces vikings – qui eux pour le coup sont norvégiens – de nous rassasier à nouveau d’un effort salvateur. Sauvage, mélodique et diablement inspiré, le deuxième album de Kvelertak mis en image par John Dyer Baizley de Baroness parvient à vulgariser les musiques extrêmes dans un hybride passionnant de black metal, d’heavy metal, de punk et de rock’n’roll. Un travail d’orfèvre qui cèle le destin du groupe, qui signe en major tout juste après la sortie du disque. Droit dans le Meir ? Pas vraiment. La Norvège était trop petite pour leur talent.
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