Des sonorités froides, des orgues morbides et du glitch discret : sur son douzième album, Scott Morgan peint un spectre sonore vaporeux dans laquelle on se plonge pour mieux se concentrer sur soi-même. A l’instar d’une bande originale de jeu vidéo (tâche que connaît parfaitement le Canadien), Equivalents ne montre pas de chemin en particulier, car le brouillard qu’il présente est une balise subtile, qui nous indique des voies à emprunter par ses intensifications et ses silences. Bonne promenade dans votre nouvel environnement.
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