Trois albums en trois ans pour cet intriguant MC de Chicago. Les présentations étaient de rigueur.
Visage songeur et lunettes vissées sur le nez, Malci semble appartenir à la caste des geeks introvertis. Le bonhomme cache pourtant bien son jeu. « I rap like how Hakeem Olajuwon posts and I whip the SP-404 like a Benz ». L’habit ne fait pas le moine : l’artiste est autant un découpeur de rimes qu’une machine à fabriquer des beats. Se considérant davantage comme un obscur musicien de jazz que comme un tailleur de mots, Malci dépeint un univers aussi étrange qu’accueillant dont les influences s’avèrent évidente : du Flying Lotus dans le son, du Gangstarr et du Aesop Rock dans le texte. On vous laisse flâner.
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1 comment on “Malci, rimes et robotique”
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