Lumière sur cette formation très discrète de Wellington qui en est déjà à son troisième disque.
L’histoire de ce trio néo-zélandais n’a rien de très extraordinaire. C’est pourtant dans les vieux pots qu’on fait la meilleure confiture : c’est à travers un amour pour Fugazi et PJ Harvey que ces trois amis se lient et forment un groupe, optant naturellement pour un registre alternatif / post-punk moderne qui réunit les nostalgiques des années 90 et les amateurs de groupes psychés plus récents. Deux albums plus tard, le trio a déjà gagné ses galons en ouvrant pour Death Cab For Cutie, Sleater Keaney ou encore Mac DeMarco. Qu’y a-t-il à ajouter ? À l’aube de la sortie de sa troisième galette – celle de la “confirmation”, qui n’est finalement qu’une case à cocher – Mermaidens continue son bout de trajet, résistant à la vague des groupes indés qui se volatilisent aussi vite qu’ils sont apparus. Grandir sur la côte de Wellington présente en effet un atout de taille : une immunité naturelle contre les vents violents.
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