Des lumières roses, du maquillage glauque et des hymnes synth-pop intemporels : à l’orée d’une nouvelle décennie, les Californiens maintiennent les années 80 dans la modernité.
Une voix claire et monocorde, un son dark-rétro, des corps humides et des danses robotiques : dès les premières écoutes, il est difficile de croire que Riki trouve ses racines dans la scène anarcho-punk et le death-rock. Une information qui relève ici davantage de l’insolite. Les Californiens sont allés à bonne école et mélangent avec brio tous les ingrédients d’une époque de l’on ne peut décemment pas oublier, qu’on l’ait vécu ou non. On pense à Madonna, Kate Bush, Pat Benatar, au Paradise Garage à New York, aux patins à roulettes et aux joggings rose bonbon. Mais faisons fi du name dropping, car le plus important est là : Napoléon, premier tube du groupe aux airs d’hymnes guerroyants pour danseurs.euses chevronné.es, arrête le temps et maintient les années 80 dans la modernité. Que la fête commence.
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