Homme de l’ombre d’une scène indie drapée elle-même dans l’obscurité, le compositeur californien est en activité depuis le milieu des années 90. En groupe comme en solo.
Tomber sur une mine d’or musicale à l’ère du numérique a toujours son lot d’émotions contradictoires. La quantité de contenus provoque l’angoisse et la paresse, la nouveauté excite et rassure. Mais derrière ce sentiment bien étrange, les faits sont là : on ne risque pas de manquer de disques. Et tandis qu’un rapide coup d’oeil à la discographie de Wayne Everett pourrait donner des sueurs froides à certain.e.s, nous préférons voir en celle-ci un parcours d’un intérêt hors du commun. L’apparente difficulté de la guitare le pousse à commencer par le Ukulélé, avant de finalement se tourner vers la batterie et de rejoindre The Prayer Chain. S’ensuivent tout un tas d’aventure avec des formations diverses (The Lassie Foundation, Cush, Starflyer 59…) et finalement une expérience solo.
Pendant plus de deux décennies, Wayne Everett enrichit son curriculum comme une star du foot remplit son armoire à trophée. Une quarantaine de sorties plus tard (!!!), le compositeur basé dans la Cité des Anges revient en 2020 avec Two Ghosts. Entre indie-rock catchy, folk enthousiaste et psychédélisme coloré, le premier single Prisoners en dit long : attendez-vous à un bijou pop, de celle qui donne la force de gravir des montagnes. Wayne Everest.
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